Que font nos triathlètes durant cette période de confinement ? Nous leur avons proposé une petite interview de circonstance idée d’entretenir le lien ! On démarre cette série avec Caroline Jezequel-Cochet.

Alors l’entraînement « #Restecheztoi » ça donne quoi ?

Heureusement que j’ai un vélo d’appart et qu’on peut encore courir un petit peu. Du coup je fais un peu de PPG, ce que je ne fais que très rarement en temps normal car je n’aime pas faire du sport hors nature !

Comment occupes-tu tes journées ?

En fait je continue de travailler donc je suis occupée 😉 Et quand je suis en repos, je m’occupe des enfants et je fais des gâteaux (je suis très gourmande). Sinon j’essaie de m’entrainer le matin avant d’aller bosser et le soir en rentrant. Le midi je dois faire à manger pour les enfants.

Qu’est-ce qui te manque le plus dans cette période de confinement ?

Ce qui me manque le plus, c’est d’aller dans la nature, dans la forêt. J’aime sentir les odeurs, apprécier une belle lumière en forêt, prendre des singles en VTT, courir dans les singles, m’aérer…

Qu’est-ce que tu feras en premier quand le confinement sera levé ?

Je prendrai mon VTT pour aller faire une grande balade en forêt. Je crois que je serai encore plus attentive aux odeurs, aux bruits de la nature.

Quelle course rêves-tu de faire un jour ?

J’aimerais bien faire Embrun car les paysages ont l’air grandioses. Ce qui me plait en triathlon, c’est de pouvoir découvrir de nouveaux endroits et de profiter de la beauté des paysages. Et puis comme il a l’air difficile, il faut bien se projeter sur de nouveaux défis. Mais avant cela, il faudra que j’aie un emploi du temps plus cadré au niveau boulot afin d’être sûre de pouvoir m’entrainer correctement.

Et quel est ton plus beau souvenir parmi les triathlons déjà disputés ?

Mon plus beau souvenir reste le Natureman. Tout d’abord parce que c’était mon premier triathlon Longue Distance et ensuite parce que ce triathlon est magique. Il se déroule dans un petit village authentique et les paysages sont à couper le souffle. S’il y a un triathlon à faire une fois, c’est bien celui-ci !

Au fait, pourquoi le triathlon et pas un autre sport ?

J’ai fait beaucoup de tennis jusqu’à l’âge de 30 ans, ensuite je me suis mise à faire des trails et un ami m’a fait tester le triathlon de Versailles quand je suis venue vivre ici en 2014. J’ai immédiatement accroché à ce sport car j’ai trouvé ça ludique. J’ai galéré avec la natation (encore maintenant ;-)) mais ce sport est hyper addictif, c’est fou !! Maintenant je me verrais mal arrêter une des trois disciplines. J’aime m’entrainer dans les trois. »